lundi 26 mars 2007

Beijing (repas)



Ca y est, je l'ai fait ! ha ha ha !
J'ai bien mangé.

C'est un restaurant japonais, plutôt chinois, qui se trouve au mall de donzhimen.

Un vrai délice, c'est pas des blagues.

Bon, le truc c'est que c'est plus cher que la cantine.

Quel dilemme !

Entreprise (JC Decaux)


Dans le métro, il y a beaucoup de monde, surtout aux stations qui rappelent Châtelet, mais il y a aussi beaucoup de publicités.

Et devinez quelle entrprise les exposent !

Une bien française, ca veut dire de chez nous autres, les irréductibles.

JC Decaux pardi

qui a annoncé avoir acquis dans le cadre d’une offre publique d’achat (OPA) 98,36% des actions de MediaNation Inc, cotée à Hong Kong. Les actionnaires minoritaires détenant les titres restants ont jusqu’au 24 juin 2005 pour souscrire, après le leader de la communication extérieure projette de lancer une offre publique de retrait obligatoire sur le solde des actions. Avec cette acquisition JC Decaux affirme un peu plus ses prétentions internationales notamment sur l’Asie, son codirecteur général, Jean-Charles Decaux, a d’ailleurs déclaré : " le succès de notre OPA sur MediaNation renforce notre position en Chine et va nous permettre d’accélérer notre croissance sur ce marché [...] et qu’ avec nos autres grands contrats dans la région, nous sommes désormais le numéro un de la communication extérieure en Chine ".

MediaNation Inc gère notamment la régie publicitaire de deux lignes du métro de Shanghaï et du métro de Pekin et a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 439,6 millions de dollars hong kongais (soit 43,1 millions d’euros) en 2004.

UIBE (cours de chinois)


Voila le bâtiment où nous apprenons le matin, les cours de chinois.

Au programme, l'apprentissage du chinois parlé, écris, en pinyin et en han zi, et même le chinois écouté.

3 matières avec 1 professeur par matière.
1+1+1= san ... euh 3, oui c'est ca !

J'en pers mon latin ... euh mon francais !

UIBE (office huide)


Ca pait pas de mine comme ca, mais notre office (du logement huide où nous sommes) est très pratique et agréable, on y paie le loyer (très cher), l'éléctricité (très cher aussi, qui est coupé si on la paye pas), les cartes de téléphone (aussi cher), et boire un café pour travailler un peu (oui c'est ca, encore cher).

La Chine ... un pays communiste?
Plus capitaliste encore que l'Europe, à un moment donné va falloir changer le nom du parti ...
A suivre !

Beijing (Bank)


Même si nos comptes sont officiellement ouverts à la Bank of China (partenaire des JO de Pékin en 2008), la China Construction Bank reste la banque la plus pratique pour retirer de l'argent car situé dans l'université, et même dans notre logement.

Bank of China, China Construction Bank, Agricultural Bank, Telecomunications Bank, Citibank, HSBC, ...
On croyait qu'ils avaient pas d'argent les chinois, tu parles !

Beijing (printemps)


En moins d'une semaine, l'hiver s'est enfin décidé à partir au profit du printemps.

Bonne ou mauvaise nouvelle?

Ca dépend, si vous préférez les tempêtes de sable au vent glacial.

Mdr.

vendredi 23 mars 2007

Entreprise (l'Oréal)


Dernier news en ce ui concerne l'Oréal en Chine !

Après avoir acheté la marque chinoise de cosmétiques Xiaohushi (petite infirmière) à la fin de 2003, le géant des produits de beauté L'Oréal s'est offert rapidement, la semaine dernière, la marque chinoise de cosmétiques Yue-Sai appartenant au Groupe Coty américain, un nouveau signe de l'entrée rapide de L'Oréal sur le marché chinois. Ces dernières années, L'Oréal vise en priorité les Asiatiques et les Africains en matière de marketing. Cette stratégie lui a ouvert de belles perspectives.

Secret de la croissance rapide : donner un nouvel emballage aux anciennes marques

Le secteur des produits de beauté mondial est estimé à une valeur de 60 milliards de dollars. L'Oréal s'est habitué à être numéro un. Cette société française, qui offrait surtout des produits aux blanches, est devenue un géant mondial ces dix dernières années. Les analystes estiment que L'Oréal a dû réaliser un chiffre d'affaires de 18,2 milliards de dollars en 2003, soit un accroissement de deux chiffres des revenus pendant 19 années consécutives. Selon Morgan Stanley, L'Oréal est la seule société de cosmétiques qui ait maintenu ou accru ses parts de marché aux Etats-Unis et sur le marché mondial de produits de beauté et de ceux pour les cheveux.

Le secret de la croissance rapide de L'Oréal réside dans le rachat de marques de cosmétiques, auxquelles elle donne un nouveau souffle et don elle change la stratégie de marketing avant de les lancer dans le monde entier. Citons l'exemple de Maybelline. C'est en 1999 que L'Oréal a acheté cette société américaine de produits de beauté qui détenait des parts de marchés majeures. Puis, L'Oréal a changé complètement son emballage inerte et l'a remplacé par une nouvelle étiquette « Maybelline New York », forgeant ainsi des atouts dans les villes. Résultat : les ventes de Maybelline sur les marchés au dehors des Etats-Unis ont progressé de 93% de 1996 à 2002.

Par ailleurs, une étude montre que Maybelline est devenue la marque de cosmétiques préférée de 44% des consommateurs féminins chinois potentiels.

Stratégie visant les noirs

L'accent étant mis sur la stratégie planétaire, L'Oréal n'a pas pour autant négligé les différences d'âge et culturelles des consommateurs. Tous ses produits ont été fabriqués sur mesure pour les clients des diverses régions, comme par exemple le Liquide anti-rides élaboré pour la génération des baby-boomers aux Etats-Unis et le rouge à lèvres destiné aux jeunes Chinois.

Aux Etats-Unis, L'Oréal a tourné son intérêt vers le marché de produits de beauté pour les ethnies minoritaires. Selon une estimation, la valeur de ce marché en voie d'expansion rapide pourrait atteindre 14,7 milliards de dollars chaque année d'ici 2008. Les soins de beauté de ces derniers étaient monopolisés par des sociétés de noirs. Ces cinq dernières années, L'Oréal s'est offert deux de celles-ci : SoftSheen et Carson, et les a fusionnées. Grâce à l'aide de chercheurs de l'institut de soins de beauté des descendants d'ethnies minoritaires de L'Oréal, ces deux sociétés ont développé des produits pouvant être vendus en dehors des Etats-Unis.

En ce qui concerne les noirs, la première cible est l'Afrique. « Si nous voulons prétendre être le numéro un mondial, nous ne pouvons en aucune raison négliger le 1 milliard de consommateurs d'origine africaine », a estimé Alain Evrard, directeur général des affaires section Afrique de L'Oréal.

Avant la fusion, SoftSheen et Carson se sont enracinées en Afrique du Sud et leurs parts sur le marché de produits pour les cheveux de l'Afrique du Sud, d'une valeur d'environ de 90 millions de dollars, étaient de près de 41% en 2002. L'Oréal espère avoir une même présence dans d'autres pays d'Afrique. Selon une étude, de nombreux Africains pensent que si un produit s'applique aux consommateurs noirs très exigeants des Etats-Unis, il leur convient certainement.

Grâce à l'intérêt porté à un petit nombre de consommateurs du marché américain, L'Oréal a conquis un plus grand marché dans le reste du monde.

Stratégie visant les Asiatiques

Bien que les marques de L'Oréal soient nombreuses, elles ne s'entre-dévorent presque jamais. Cela est dû à ses efforts en vue d'explorer le marché et de renforcer le marketing. Selon l'estimation de Merrill, les dépenses annuelles destinées aux publicités et à la promotion à L'Oréal représentent 30% de son chiffre d'affaires, tandis que la moyenne de ses concurrents est de 25%.

Ne cessant d'innover et de rechercher de nouveaux clients, L'Oréal continuera, à travers des fusions-acquisitions, à diversifier ses canaux de revenus et accroître la sphère d'influence de ses produits. Outre la marque Xiaohushi acquise en décembre dernier, elle a aussi acheté la marque japonaise Shu Uemura et tourne désormais son regard vers l'Inde et le Mexique.

Le mariage avec Yue-Sai montre encore une fois le grand intérêt que L'Oréal porte au marché chinois. « Suite au rachat de la marque Xiaohushi vers la fin de l'année dernière, cette nouvelle acquisition confirme encore une fois la volonté du groupe L'Oréal d'accélérer son essor sur le marché chinois d'importance stratégique », a déclaré Lindsay Owen Jones, directeur général planétaire et CEO du groupe.

Actuellement, les chercheurs du siège social de L'Oréal travaillent jour et nuit pour développer de nouveaux produits destinés à la marque Yue-Sai. A travers l'acquisition des marques Xiaohushi et Yue-Sai, L'Oréal espère passer du 3e au 2e rang sur le marché chinois des produits de beauté en 2004.

Beijing (coiffeur)


Le coiffeur à 1 euro, c'est bien, c'est pas cher mais problème de compréhension oblige, il décide de vous raser une pâte pour aller à la mode capilaire d'ici, sans prévenir, c'est malheureusement ce qu'il m'est arrivé !

J'en suis encore rouge, enfin, dans une semaine, ça va pousser ...

Quelle galère !

Beijing (animal de compagnie)





Et voila, pour la modite somme de 3,5 euros, paille et cage compris, vous pouvez acheter un petit animal de compagnie.
Moi j'ai craqué pour ce petit lapin (c'est mon 5e), que je viens de nommer xiao héi tuo (traduisez littérallement petit lapin noir).
Quel bonheur !

dimanche 18 mars 2007

Sup de Pub (Compétition)


Petit clin d'oeil à mes amis de Sup de Pub qui sont en compétition à présent à Paris.
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Bonne chance à tous !
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A bientôt !

will-i-am



Oh la la !!!!!

J'avais complétement oublié de me présenter en chinois !

Wo jiao su da wei : Je m'appelle su da wei.

"Su" pour Suissa
"Da wei" pour David

William étant trop compliqué !

http://willbh.free.fr/

UIBE (conférence)


Bon finalement, on travaille même le dimanche, pour l'instant.

Aujourd'hui s'est tenu une conférence sur une entreprise à énérgie solaire, agrée par le gouvernement, nommé TBEA.

Présentation de l'entreprise par vidéo, en anglais s'il vous plaît, au début, puis présentation des cadres dirigeants, enfin de nous même, dont moi.

"Nin men hao, wo jiao su da wei, wo shi fa guo ren ..." traduction, bonjour à tous (de manière poli), je m'appelle su da wei, je suis français, etc."

Conférence d'une heure et demi sur l'entreprise, son activité, ses partenaires, son marché, ses débouchés, etc. en vue d'un stage, mais le secteur ne m'intéresse pas.

Enfin, il est important d'acquérir des contacts. L'avenir étant incertain !

UIBE (cours)


Et voila, les cours ont bels et biens commencés.

Au programme, apprentissage du mandarin le matin, 3 professeurs à l'appui, suivi de 5 cours différents de business l'après-midi.

Etant avec une classe composée majoritairement de coréens qui apprennent très vite, je suis submergés de devoirs.

Déjà trois tests en une semaine.

Mais le moral y est, c'est le principal.

Beijing (vie quotidienne)


L'argent pars vite en fait, même si la vie ici est relativement peu cher, cela est vrai dans les faits mais pas dansla pratique.

1. La nourriture ne me convenant pas, il faut payer plus cher pour qu'elle soit acceptable,

2. le métro ne desservant pas toute la ville, les trajets en taxi commencent à peser,

3. l'installation coûte également,

4. la vie à l'université fais aussi des siennes, par le biais de fournitures et autres ...

5. enfin le logement, qui est 2 fois plus cher que prévu !

Résulat, je viens d'acheter ce petit cahier qui va me faire prendre conscience des retraits et achats afin d'y aller molo sur les transactions. Il faut économiser bon sang, un yuan est un yuan.

UIBE (repas)


Encore une session repas me direz-vous, mais c'est que ça nous obsède ici, ne trouvant rien de convenable !

Nous avons trouvé un service de livraison dans l'université, celui-ci s'adressant aux principales cibles qui sont les coréens et les japonais, il n'est pas disponible en anglais, alors c'est un combat pour se faire livrer.

Mais finalement pour le même prix qu'un menu au Mcdo, bien que le repas soit beau, il n'est pas pour autant bon.

Beijing (Bank of China)



Ouverture d'un compte à la Banque de Chine, en 5 minutes chrono, après une heure d'attente, pour la modique somme de 5 yuan (50 cts d'euro).

Mais le problème est que ma banque en France me demande 42euros pour faire un virement.

Il est grand temps que la France redécouvre le mot "service à la clientèle".

Western union a l'air moins cher (25 euros), une affaire à suivre !

Beijing (gastronomie)



Enfin de la gastronomie locale qui ne fasse pas mal aux ventres !

Fourés au boeuf et trempés dans de la soce soja, ces raviolis étaitent un vrai délice quand on y repense.

Beijing (Temple of previous dynasties)




Sur la route du temple de Conficius qui était malheureusement fermé (à faire la prochaine fois), nous avons été interpellé par un temple qui n'est pas référencé dans nos guides respectifs.

Plus cher que celui des Lamas et de Confucius réuni (60 yuan l'entrée), il est toutefois intéressant, même s'il est petit de part sa taille.

Le guide étant fournit (pour ce prix) mais ne parlant que le chinois, nous avons tout de même compris que ce temple était la deumeure d'une personne de la famille empériale.

Construit sur un temple bouddhiste, Lidai diwang miao (le temple des anciennes dynasties), a été construit sous les empereurs Ming et Qing.

Beijing (xi'dan)




Xidan et ses énormes centres commerciaux attirent tout le reste de la population pékinoise (à noter que pour une fois je n'ai pas utilisé Beijing pour dire Pékin, lol), Situé à l'ouest de la Cité interdite, cette autre fameuse artère commerciale est bondée de monde.

Les achats y sont intéressants car peu chères.

On y retrouve toutes les entrprises occidentales phares d'ici : Mcdonald's, Kfc et Pizza hut !!!

Beijing (wangfujing)


La principale artère commerçante de la ville, Wangfujing, à l'est de la Cité interdite, est une rue piétonne qui court du nord au sud à l'est du Beijing Hotel.

Appelée autrefois Morrison Street, elle fut rebaptisée en 1949 et attire désormais les générations banchées et plutôt aisées.

Beijing (transport)



A vos stylos, exercice de calcul ! Le petit william se trouve au point A et il veut aller au point B, à 20 kilomètres du point A, sachant que le taxi coûte 2 yuan au kilomètre et qu'il démarre la course à 10 yuan et sachant que le taxi ne coûte au plus que 5 yuan, quel est le transport le moins cher?

10 + 2 X 20 ... 5 ....

Et oui, le métro bien sûr, si changer 2 fois ne vous énerve pas, dans cette foule inomable !

UIBE (repas)



Quel exercice difficile que la prise de repas ici, ... enfin ! ... j'ai quand même réussi à trouver une cantine au sein du campus, à peut près convenable.

Le repas y est correct et peu cher.

En revanche, il n'est pas recommandé d'essayer leur barbecue où les jeunes étudiants raffolent des poulpes grillés qui sont largement exposés.

A bon entendeur !

samedi 17 mars 2007

UIBE (environnement)







Non loin de notre université, se trouve une rive qui prend des airs de parcs où il fait bon se promener, même si elle est asséchée.

La rue compte majoritairement des bars ... vident.

Les temps sont durs pour les Chinois, même si la Chine est oficiellement la 3e puissance économique au monde.

Beijing (night life)





Quand la nuit tombe, la vie sur le campus est agréable mais mon quartier qui se nomme Chaoyang n'a pas l'air très rassurant.

La télévision parle d'un homicide à quelques mètres de chez nous, une histoire banal semble-t-il !

Il n'est pas encore venu le temps où je me risquerais à sortir, même accompagné.

Beijing (Culture)


Voici ma chaîne de TV préférée en Chine, une chaîne ... coréenne, qui se nomme Arirang, car elle est donnée en Anglais.

La Corée du sud paraît magnifique. Les coréens qui sont dans ma classe et qui submerge l'université sont très sympathique.

Un voyage en Corée serait-il au programme?

Beijing (Repas)


Voici mon repas quotidien, pris devant mon pc, un bol de riz et un autre de légume, ne pouvant supporter la viande ici.

Quelques déboirs culinaires que j'éspère dépasser.

A suivre ...

Entreprise (Carrefour)


















Et oui c'est bien Beijing. Ne vous attendez pas à être totalement dépaysé. Vous retrouverez de-ci de-là, les tics de Carrefour qui semblent convenir aux Chinois, ce qui n’a pas été le cas au Japon où Carrefour a dû faire demi-tour.

7 EUROS PAR CLIENT

La Chine est le pays où Carrefour, implanté depuis 1995, connaît sa croissance la plus rapide. Le groupe, qui est le premier distributeur international en Chine, devrait y réaliser cette année un chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros, en progression de 20 %.

La croissance des activités chinoises du numéro deux mondial de la distribution est à l'image de celle du pays : forte et régulière. S'appuyant sur un pouvoir d'achat en augmentation et un produit intérieur brut (PIB) en hausse de 10 %, Carrefour a doublé en trois ans son parc de magasins.

Le groupe cherche maintenant à passer à la vitesse supérieure. Cette année 25 hypermarchés auront été ouverts, l'objectif étant d'atteindre 120 grandes surfaces en 2007.

Or, être distributeur en Chine n'est pas un long fleuve tranquille. Les groupes occidentaux doivent composer avec le bon vouloir des autorités locales et en bonne intelligence avec des partenaires locaux (grossistes gouvernementaux, sociétés foncières parapubliques...).

Carrefour doit donc adapter constamment sa stratégie à la politique menée par les autorités chinoises. Celles-ci cherchent actuellement à rééquilibrer le développement économique du pays en faveur des régions du Centre et de l'Ouest, moins développées que la côte.

Beijing (zhongguancun)


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A peine arrivée, que la carte de crédit chauffe déjà pour Baptiste, qui cours au quartier élèctronique pour s'acheter un ordinateur.

PC ou MAC? 2, 3 jours de réflection et ... comme le Japon lui manque, il opte pour un Fujitsu.

Il a l'air de marché mise à part une connexion réseau qui ne fonctionne pas.

Beijing (temps de saison)


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Après une arrivée dans un Beijing immergé par la pollution, voici Baptiste qui claque des dents, la ville étant recouverte par la neige.

Maintenant ca va bien heureusement, mais les temps étaient dur. C'était tellement froid, que l'on est encore malade.

Snif !

UIBE (campus)


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Voici notre allée où se trouvent nos appartement, comprenant une salle à coucher, un petit salon, une petite cuisine qui fonctionne au gaz, à éviter, ainsi qu'une espèce de douche.

Mais qui selon les dires, est la meilleure commodité du campus.
A vérifier le mois prochain, celui-ci étant déjà payé, dans les environs de l'université.

En revanche, le campus est très sympa !

Les hutongs


A Beijing, les avenues, les places et les palais donnent une impression d'imensité. Pour décourvir une ville à l'échelle humaine, nous n'avons pas hésité à nous engager dans le charmant dédale des ruelles anciennes, les célèbres hutong (ce terme vient d'un mot mongol signifiant "passage"), qui débouchent sur un monde pittoresque, celui des sihe ("maisons sur cour carrée").

Le mausolée de Mao


Clin d'oeil sur le mausolée de Mao shuxi jinian tang (Mao Zedong), au sud de ce monument, qui renferme la dépouille du Grand Timonier. Chaque jour, les visiteurs viennent en nombre rendre hommage à l'ancien président, dont le corps embaumé repose sur une dalle de granit noir du Taishan, l'une des cinq montagnes sacrées de la Chine ancienne.

La place Tian'an men


L'immense esplanade pavée de la place tian'an men (place de la Porte de la Paix céleste) est une création de Mao Zedong. Théâtre des tragiques manifestations estudiantines du printemps 1989, elle constitue un microcosme de l'univers communiste et le symbole du pouvoir étatique omnipotent. Elle abrite à la fois le mausolée de Mao (que nous avons eu la chance de visite à la veille d'une fermeture annoncée pour plusieurs mois) et le bâtiment monolithique du Parlement actuel.

Cette place de plus de 40 ha, sur laquelle se déroulend d'immenses défilés militaires et qui rassembla jusqu'à un million de personnes lors de la Révolution culturelle, incarne tout à la fois la puissance du régime communiste et la crise du système.

La Cité interdite


La Cité interdite (Zijin Cheng), qui fut la résidence des empereurs Ming et Qing, est un des lieux les plus imposants et les plus magnifiques du pays. Elle s'étend sur 72 ha.

En 1420, lorque l'empereur Yongle (troisième emereur de la dynastie des Ming) transféra la capitale de Nanjing à Beijing, il fit édifier la Cité interdite sur le site du palais des empereurs Yuan, mobilisant plus de 20.000 hommes pour construire ce monument.